I have posted in my previous entry a poem by Abdu'l `Aziz al Maqalih, which has been put to music by Ahmad Fathi (my favorite version) and by Abu Bakr Salem Ba 'l Fakih. I used to listen a lot to this song in Yemen, especially when chewing qat on the long drive between Hodeida and San'a. My favorite part has always been:
انساك كيف والحشى يا فاتني مرعاك
Below is my translation in French. Why French? Because I'm writing a lot in French these days, and that's how I feel like.
La Gazelle Yéménite
Abul Aziz Al Maqaleh
Quand la lune disparait
Mon esprit est embrouillé
Mes yeux sur lesquels elle est tatouée
Demandent de ses nouvelles
Les nuages répondent tristement
Hier je ne l'ai pas vue
Elle a pris les étoiles et a disparu
Et le ciel en est accablé
Je ne découvrirais pas celle qui s’est couverte
Mais je ne couvrirai pas celle qui s'est dévoilée
Oh gracieuse gazelle Yéménite, tu es l’âme de celui qui t’aime
J’ai tant essayé mais je n’ai pas pu t’oublier
Comment t’oublier quand tu as fait, ma charmeuse, de mes entrailles ton pâturage
Mon cœur t’attend sur le chemin ; le vois tu étalé ?
Je ne découvrirais pas celle qui s’est couverte
Mais je ne couvrirai pas celle qui s'est dévoilée
J’apprécie l’arrogance et l’humiliation de l’amant
Les diableries de l’innocence et les promesses non tenues
L’indécence de la beauté qui la rend plus désirable
Sans les cils les yeux perdent de leur attrait
Je ne découvrirais pas celle qui s’est couverte
Mais je ne couvrirai pas celle qui s'est dévoilée
O gazelle de Sanaa, les larmes ont demandé
Aux nuits de ne plus nous séparer
Et l’esprit ô ma charmeuse, dans ton amour s'est embrouillé
Je ne découvrirais pas celle qui s’est couverte
Mais je ne couvrirai pas celle qui s’est dévoilée
Sunday, September 19, 2010
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Merci !
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